Ouija
collection paranormale

Portfolio constitué par Tony Côme

Très vite informé des scènes de crime et présent sur les lieux tout aussi subitement, le photographe américain Weegee en aurait tiré son célèbre surnom…

Brevetée en 1891, la planche Ouija permettrait de communiquer avec l’au-delà le plus spontanément et le plus clairement possible. À sa surface, sont inscrits un alphabet complet, les dix chiffres arabes, les mentions « yes », « no » et enfin « good bye » (ou « au revoir » selon les planches). Ainsi équipé, le grossier esprit frappeur mute en un esprit « épeleur » bien plus subtil.

Libre à lui donc, s’il souhaite entrer en communication et répondre aux questions qu’on lui pose, de faire migrer une petite « planchette » percée (fournie avec la Ouija), une « goutte » (dans la terminologie spiritiste française) vers une inscription particulière, voire même de dicter une phrase.

Si l’objet n’a pas encore révélé toute la complexité de son histoire (éminemment commerciale), il appartient depuis longtemps au folklore populaire. Il a son musée,
ses collectionneurs, il est sans cesse réinventé.

En témoigne ce portfolio qui parlera tant aux médiums qu’aux typographes.

Geoffrey Dorne ?

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